Le marché où s'est produit le drame se situe sur Breitscheidplatz

plusieurs indices laissent supposer qu'il pourrait s'agir d'une attaque. Le camion polonais était chargé d'acier et devait effectuer une livraison en Allemagne, mais la compagnie polonaise avait perdu le contact avec son chauffeur depuis la fin de l'après-midi.

Selon un des scénarios les plus fréquemment évoqués, le camion aurait en fait été volé. Le chauffeur légitime du camion aurait été assassiné par le voleur et c'est ce dernier qui aurait manoeuvré le véhicule dans l'intention de commettre une attaque.

Le marché où s'est produit le drame se situe sur Breitscheidplatz, dans l'ouest de la capitale allemande, au pied de l'église du Souvenir, un lieu de culte qui a été partiellement détruit durant la Seconde Guerre mondiale et qui est censé rappeler les ravages de la guerre.

Selon plusieurs observateurs, il est difficile d'y rouler vite, surtout en cette période de l'année où l'endroit est encombré de piétons. Le marché serait également difficilement accessible en voiture.

Selon les services de sécurité, des « indices très probants

Trois autres personnes ont subi des blessures mineures. L'une d'elles a reçu son congé de l'hôpital.

Le tireur a été identifié comme étant Mevlut Mert Aydintas, 22 ans, qui travaillait pour la police antiémeute d'Ankara depuis deux ans et demi.

Dénonçant « un acte terroriste », une porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères a déclaré que « les assassins seront punis ».

L'attaque n'a pas été revendiquée pour le moment.

Selon les services de sécurité, des « indices très probants » indiqueraient qu'il appartenait au réseau du prédicateur turc exilé aux États-Unis Fethullah Gülen, que le pouvoir turc accuse d'avoir fomenté une tentative de putsch le 15 juillet dernier.

M. Gülen a prestement dénié ces insinuations. Selon son avocat, qui affirme qu'elles ne sont qu'une pathétique tentative pour tenter de dissimuler les failles de sécurité du régime turc, le prédicateur condamne fermement l'attentat.

Vice President-elect Mike Pence would be in the theater that night

According to an account in Broadway.com, the cast dialed up Lin-Manuel Miranda, the show’s writer and creator, and Jeffrey Seller, the producer, and together they crafted a message encouraging the incoming administration to uphold America’s values on behalf of people of different backgrounds, beliefs and orientations.  The audience, however, did not know Pence was there until just moments before the curtain rose. Some speculated a VIP would be in attendance: As theater-goers arrived, they saw black Suburbans, Secret Service and an ambulance clogging the street outside. As they sat in their seats and waited in line for the bathroom, they speculated whether the VIP would be President-elect Donald Trump, or maybe first lady Michelle Obama, for a repeat performance.

“Hamilton,” a Broadway musical that has won 11 Tonys, usually provokes a loud and joyous reaction from its crowds. But that night, the reaction was heightened. “This particular show, there are a lot of scenes that are very antithetical to the ideas of the Trump-Pence campaign that they’ve been running on. So I think that was resonating with people, knowing he was in the room,” Stagman said.