Wednesday 11 January 2017

stata trovata in ordine e non c'erano oggetti

Le vittime del duplice omicidio sono una coppia proprietaria del ristorante "La Greppia" di San Giuseppe di Comacchio. Salvatore Vincelli, 59 anni, e la moglie Nunzia Di Gianni, 45, erano originari di Torino dove vive l'altro figlio di 25 anni. Da chiarire il movente del delitto: a dare l'allarme ieri era stato proprio il sedicenne, rientrato a casa dopo essere stato da un amico. La sua versione era sembrata subito contraddittoria.

La casa è stata trovata in ordine e non c'erano oggetti o soldi che mancavano. Non sono stati inoltre notati segni di scasso su porte o finestre, dunque chi ha ucciso la coppia è entrato in casa senza problemi. I due coniugi sono stati trovati in stanze diverse, lui in garage e lei in cucina, col cranio fracassato e un sacchetto di plastica in testa. La coppia però è stata uccisa nella camera da letto e i corpi sono stati poi spostati nei due diversi luoghi della casa.

Monday 9 January 2017

Come spiega il medico al pronto soccorso di Nola

“Tra sabato e domenica sono arrivate 265 persone – ha spiegato – a fronte delle 150 circa che arrivano in media, complice anche il freddo che ha gelato le strade, e che ha costretto molte persone della provincia di Avellino a venire a Nola anziché andare altrove. E quando qualcuno giunge al pronto soccorso non possiamo certo mandarlo via, abbiamo preferito mettere a terra le persone piuttosto che non prestare loro assistenza”. De Stefano insiste: “Una di quelle persone era in arresto cardiaco, ma che dovevamo fare senza letti né barelle, mandarla via? I medici hanno preferito fare la defibrillazione sul pavimento, pur di salvarle la vita come è accaduto”. A suo giudizio le immagini mostrate in tv, “non hanno dato una bella immagine dell’ospedale, ma era l’unica soluzione per far fronte all’emergenza”. “L’altra persona ritratta a terra – ha raccontato – era stata messa in posizione antisoffocamento perché era in preda al vomito”. Il direttore sanitario spiega che “30 dei 265 utenti arrivati al pronto soccorso sono stati ricoverati e due persone sono state portate in altri nosocomi. Si pensi che c’era anche l’emergenza acqua, ed avevamo allertato la prefettura per poter avere qualche autobotte, poi fornitaci dai vigili del fuoco”. Come spiega il medico al pronto soccorso di Nola arrivano persone “dall’Agro Sarnese, dal Vesuviano, dal Nolano, dall’Avellinese, dall’Acerrano, per un’utenza di circa 300mila persone. Ma i medici fanno il loro dovere e danno assistenza nel migliore dei modi possibili, considerando anche che l’ospedale ha 107 posti letto a disposizione, e ne sarebbero necessari, nella norma, almeno il doppio. Noi non ci scoraggiamo, e siamo sereni, siamo pronti a chiarire tutto quanto ci sarà chiesto di chiarire. Ripeto, quella di sabato è stata un’emergenza che definire eccezionale è poco”.


“Situazione ancora critica, pazienti su sedie e barelle”
Oggi la situazione è che non c’è nessun paziente a terra, ma sono ancora molti gli utenti del pronto soccorso, assiepati su sedie e barelle in attesa di visita o dell’eventuale ricovero, e gli operatori sanitari parlano di situazione che resta comunque “critica”. “Speriamo di non arrivare al punto di sabato – spiega un medico in uscita dall’ospedale – Il 118 è stato allertato, ma le autoambulanze continuano ad arrivare. Per ora abbiamo pazienti sulle sedie e sulle barelle, nessuno fortunatamente a terra”. Molte delle persone giunte nel nosocomio nolano nelle ultime ore, hanno avuto problemi legati all’influenza, complice anche il gelo di questi giorni, con ripercussioni sul sistema respiratorio. “Assistiamo tutti – sottolineano i medici – facciamo quanto possibile, senza lasciare nessuno senza cure, perciò sabato si è arrivati al collasso. Arrivano persone da tutta la provincia di Napoli e di Avellino, siamo al limite. Non possiamo rimandare indietro gli utenti. Speriamo che la situazione migliori”.

Sunday 8 January 2017

Le peuple québécois n’existe ni juridiquement

Il y a une trentaine d’années, une telle formule aurait heurté le sentiment national des Québécois francophones : à l’époque, ils ne voulaient pas devenir des étrangers chez eux non plus qu’une minorité dans le seul d’Amérique qui leur appartient. Aujourd’hui, surtout chez les plus jeunes, ils sont de plus en plus nombreux à l’apprécier. Ils y voient une marque de la diversité montréalaise et de la grande ouverture au pluralisme identitaire qui caractériserait pour le mieux notre société. Le bonjour/hi est en train de devenir le symbole principal de l’identité montréalaise. Et à travers cela, Montréal se sépare culturellement du reste du Québec.

Le sort réservé aux francophones dans la fonction publique fédérale représente bien celui du français en général : c'est celui d'une langue de traduction. Le mythe du Canada bilingue aura duré une génération. Finalement, il n’aura servi qu’à justifier la lutte contre le français au Québec. D’ailleurs, d’une génération à l’autre, on voit ce que le Canada fait aux Québécois : Justin Trudeau, le Canadien par excellence, maîtrise infiniment mieux l’anglais que le français. Il incarne bien la mutation identitaire qui attend les Québécois s’ils demeurent dans la fédération. On ajoutera que les Québécois acceptent de plus en plus de se définir à partir de l’image que le multiculturalisme fédéral fait d’eux. À l’époque de la Révolution tranquille, ils se croyaient en droit d’imposer le français chez eux. Maintenant, ils se contentent de réclamer des services en français et ont l’impression d’être bien traités. Pire encore: quand certains nationalistes veulent prendre des mesures politiques fortes pour assurer la survie du français, on les accuse de cultiver l’anglophobie et la xénophobie en plus de vouloir mettre en place des politiques discriminatoires, fondées sur la «peur de l’autre». Les élites québécoises ont intériorisé le point de vue trudeauiste sur le Québec.

Le peuple québécois n’existe ni juridiquement, ni politiquement, ni symboliquement au Canada, et il en est venu à l’accepter. Ce n’est pas sans conséquences. Et dans la mesure où le Canada croit le nationalisme québécois vaincu pour de bon, il redevient le pays qu’il a toujours été : un pays anglais avec une minorité francophone qu’il se croit incroyablement généreux d’accommoder mais qu’il refuse fondamentalement de considérer comme une nation à part entière, en droit de définir les modalités de son existence collective. On pourrait dire la chose plus crument: le Canada anglais se trouve manifestement généreux de ne pas travailler à nous assimiler activement. Ce qui est le plus triste dans tout ça, c’est que les Québécois eux-mêmes se félicitent qu’on les tolère encore et y voient une victoire résultant des luttes menées par plusieurs générations pour assurer leur survie. C’est ce qu’on appelle se contenter de peu. C'est aussi ce qu'on pourrait appeler mourir à petit feu.

Friday 6 January 2017

Trump, a répété vendredi

La chaîne CNN avait révélé jeudi que l'équipe de transition du président élu avait approché les responsables républicains pour pouvoir financer le mur avec l'argent public si possible dès le mois d'avril.

La promesse de Donald Trump de construire «l'énorme, puissant et beau mur» sur la frontière sud des Etats-Unis, longue de plus de 3000 kilomètres, lui a valu à chaque fois un soutien enthousiaste et vocal pendant ses meetings électoraux. «Qui va payer ?», lançait le candidat, et la foule s'égosillait à chaque fois: «le Mexique».

Trump, a répété vendredi, sur Twitter, que le Mexique paiera éventuellement pour le mur qu'il a promis d'ériger.

Le coût du projet n'est pas établi mais devrait s'élever à plusieurs milliards de dollars.

 Suivre
 Donald J. Trump ✔ @realDonaldTrump
The dishonest media does not report that any money spent on building the Great Wall (for sake of speed), will be paid back by Mexico later!
19:19 - 6 Janv 2017
  15 584 15 584 Retweets   49 478 49 478 j'aime

Thursday 5 January 2017

L’établissement regroupera alors les 360 employés

Le projet de développement au coeur de ce partenariat prévoit l’agrandissement et le réaménagement de la division d’Olymel à Yamachiche et la mise sur pied d’un deuxième quart de travail permettant de doubler le volume de production. Une fois les travaux d’agrandissement complétés, soit dans un peu moins de trois ans, les activités de l’usine de Lucyporc pourront être fusionnées à celles d’ATRAHAN, division d’Olymel.

L’établissement regroupera alors les 360 employés de cette dernière et les 430 employés de Lucyporc, en plus de créer 350 nouveaux emplois, faisant de cette usine une des plus importantes entreprises du secteur agroalimentaire au Québec.

«Groupe Robitaille et la direction de Lucyporc se réjouissent que la conclusion finale de cette entente puisse contribuer à libérer les forces et les synergies de ce partenariat d’affaires, permettant la mise en commun de nos expertises et de notre savoir-faire au profit des deux partenaires. Groupe Robitaille saisit ainsi l’occasion de pousser encore plus loin la production de produits à valeur ajoutée nécessitant le respect de cahier de charges précis comme dans le cas des marques Mugifugi et Nagano de Lucyporc. Nous sommes persuadés que le partenariat avec Olymel viendra renforcer notre capacité à maintenir des standards de qualité élevés, tout en nous permettant de conquérir de nouveaux marchés» ajoute pour sa part le président du Groupe Robitaille, Claude Robitaille.

Wednesday 4 January 2017

Une remarque qu'a réprouvée le ministre de l'Intérieur de l'Inde

Les crimes et délits sexuels font partie du quotidien en Inde. En 2015 seulement, plus de 34 000 viols ont été rapportés. Étant donné que nombre de femmes hésitent à dénoncer, ce nombre est sans doute encore plus élevé.

Mais l'État du Karnataka était jusqu'ici considéré comme étant plus sûr que la capitale New Delhi, parce que la population y est en moyenne plus éduquée.

Les événements du Nouvel An à Bangalore ont suscité un émoi dans tout le pays. Un émoi qu'ont accentué les affirmations de politiciens : le ministre de l'Intérieur du Karnataka, par exemple, a publiquement attribué la cause de ces incidents aux vêtements « à l'occidentale » que portaient les présumées victimes, selon lui.

Une remarque qu'a réprouvée le ministre de l'Intérieur de l'Inde, qui l'a qualifiée sur Twitter d'« irresponsable ». Mais un chef de parti politique dans l'État de Maharahstra a jeté de l'huile sur le feu en affirmant à son tour que si sa propre soeur célébrait le Nouvel An sans la présence de son mari ou de son frère, « ce ne serait pas correct ».

Le dossier Azaria a opposé l'état-major

Le jugement, attendu en direct par les grandes chaînes de télévision, a continué à mettre en lumière les profondes lignes de fracture causées dans l'opinion par l'affaire Azaria, entre ceux qui plaident pour le strict respect par l'armée de valeurs éthiques et ceux qui invoquent le soutien dû aux soldats confrontés aux attaques palestiniennes.

Des accrochages ont éclaté entre des dizaines de jeunes partisans du soldat et les forces de l'ordre à l'extérieur du quartier général de l'armée où le tribunal statuait. Deux personnes ont été arrêtées, selon la police. « Le peuple d'Israël n'abandonne pas l'un de ses soldats sur le champ de bataille », proclamait une pancarte.

Le dossier Azaria a opposé l'état-major, qui s'est posé en garant de certains idéaux militaires et a poussé à ce qu'il soit jugé, à une grande partie de la droite et des personnalités politiques de premier plan.

« Ce procès n'aurait jamais dû avoir lieu », a déclaré la ministre de la Culture Miri Regev. Elor Azaria est « notre fils, notre enfant », a-t-elle ajouté, et il aurait dû faire l'objet de mesures disciplinaires au sein de son unité.

Avant de devenir ministre de la Défense, Avigdor Lieberman avait signifié son soutien au soldat en assistant au début de son procès. Désormais détenteur de l'un des plus importants portefeuilles gouvernementaux, il a indiqué ne pas aimer le jugement, tout en appelant à le respecter et « à faire preuve de retenue ». « J'appelle le monde politique à cesser de s'en prendre aux responsables des services de sécurité, à l'armée et à son chef d'état-major », a-t-il dit.

Dans un pays régulièrement confronté aux attaques palestiniennes et où l'armée est une institution incontournable, des milliers d'Israéliens ont pris fait et cause pour le soldat, lors de manifestations ou sur les réseaux sociaux.